Pierrot Lunaire
Un conte qui mêle poésie, féérie et humour
La lune disparaît du ciel, enlevée par le Diable. Pierrot, fils de la Lune, part à sa recherche, aidé d'une petite fille, d'un bon diable et de ses amis spectateurs.
La technique utilisée est celle des marionnettes à gaine (même système que le Guignol lyonnais). Des personnages originaux, à la figue expressive, dont la pétillante vivacité ne laisse pas de place aux temps morts.
Un spectacle interactif dont la durée varie entre 1 heure et 55 minutes, en fonction de l'âge des enfants et de leurs réactions dont nous voulons qu'elles fassent partie intégrante du spectacle.
Présentation du spectacle en vidéo
Objectif artistique
Explorer les racines culturelles léguées par les contes et légendes de nos pays.
Objectif pédagogique
Stimuler la spontanéité de l'enfant, l'impliquer grâce à une interactivité totale.
Une version spéciale "Fêtes de fin d'année" est disponible et donne la part belle au Pére Noël
Castelet : l 3m x L 2m x H 2,70m
Dans ce conte traditionnel occidental de marionnettes, genre guignol lyonnais, joué dans un grand castelet démontable, nous attachons une grande importance à ce que les enfants aient l’impression que l’histoire avance grâce à leurs interventions. Les personnages dialoguent avec le public, tiennent compte de ses remarques et tout concourt à donner aux enfants l’agréable illusion d’être les maîtres du jeu.
Résumé : le Roi des vents (en période de Noël remplacé par le Père Noël) est le fiancé de la mère de Pierrot, la Lune. Malheureusement
elle a disparu : nulle trace de la Lune dans le ciel !… Le méchant Diable et Carabosse vont tout faire pour empêcher les retrouvailles de
Pierrot et de sa maman. Mais, grâce au bon petit diable Méphistounet et au Roi des vents, tout s’arrangera. Le méchant Diable, ainsi
que Carabosse, seront punis, la sorcière aussi, et, bien sûr, La lune sera retrouvée.
Sept tableaux, sept toiles peintes, dans la plus pure tradition du genre guignol lyonnais.
Beaucoup de magie, de mystère et d’humour dans ce conte « Pierrot Lunaire »